Spectatrice, journaliste, gémeaux, pratique l'improvisation en cuisine et la bicyclette en ville.

Explorateur qui navigue sans cartes. Aime aborder le théâtre, le cirque, la danse, les arts plastiques et la musique comme des terres inconnues.

Considère que, à l’heure du tout virtuel, le théâtre et la danse figurent parmi les dernières occasions de plonger dans le réel.

Les mal-aimés, les décalés, les plus faibles, les plus fous, les yeux rieurs, l'air du large, le chant des goélands et le risotto aux truffes... Je crois les aimer. Et les retrouver parfois dans les livres ou les spectacles qui s'adressent au jeune public.

Idéaliste, rêveuse, humaniste, j’ai trouvé en mon métier de journaliste culturelle une source intarissable d’épanouissement, de curiosité et d’ouverture sur le monde.

Chargée des Arts de la scène à la RTBF. 

 Aime le son, les échanges sincères et la musique qui déboîte. On lui a un jour ouvert les portes d’un théâtre. Depuis, il écoute, il questionne, il apprend et il avance.

Jacques Franck, après être devenu docteur en droit de la KUL, fait toute sa carrière au quotidien La Libre Belgique à partir de 1957. Il y travaille aux pages de politique intérieure, de politique étrangère et aux pages culturelles. Il dirige la rédaction du journal de 1984 à 1996 et il continue à y écrire régulièrement des chroniques littéraires. Il est anobli par le roi Albert II en juillet 2003 (Source : Wikipedia).

Rêve du don d'ubiquité et d'un ordinateur qui devine les pensées. Théâtre, opéra, concert ou polar? De l'un à l'autre, en quête d'étonnement, toujours...

Ca fait 33 ans que je «cause dans le poste», 5 ans que j’écris dans la presse, 6 mois que je joue avec photos images et sons sur mon blog de la RTBF(Sucré/Salé) et 2 semaines que je «résume» ma semaine sur le site Rtbf.

Un directeur de théâtre compara un jour les critiques à des mouches tournant autour des chevaux pendant que ceux-ci tirent la charrette. Nous voilà donc drosophile théâtrophile qui doit parfois se transformer en moustique, mais préfère de loin jouer les lucioles pour attirer le public.

Arrivé au théâtre presque par hasard. A vu de la lumière, y est entré et est resté parce qu'il a beaucoup aimé. A envie de tout savoir mais sait que c'est perdu d'avance. C'est peut-être ça le plus beau...

Après avoir roulé sa bosse de l'autre côté du miroir à Charleroi pendant neuf ans (au PBA et à l'Eden), Estelle Spoto est devenue journaliste spécialisée en arts de la scène. Elle travaille aujourd'hui pour Le Vif/L'Express.